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1970
11 novembre 1970

En 1970, l’AFREUBO est proche de la disparition. Les étudiants des origines ont maintenant un emploi ; ils habitent ailleurs, certains sont mariés, et ils n’ont plus la disponibilité qu’offrait la vie en résidence universitaire. Les répétitions sont désertées (il est arrivé de s’y retrouver à quatre ou cinq seulement), le répertoire ne se renouvelle guère, les sorties se raréfient, en deux mots, l’AFREUBO n’a plus la pêche.
Les choses s’améliorent à la rentrée d’octobre 1970, avec l’arrivée de nouveaux éléments qui redonnent de la vigueur à l’AFREUBO. Parmi ces nouveaux musiciens, un élève de Sup Optique qui joue du hautbois, Louis-André Lompré.
La photo ci-dessous prise devant la mairie d’Orsay le 11 novembre 1970 témoigne de ce renouveau des effectifs. On y reconnait :
En haut : Maurice Klein (basse), Christian Brunet (contrebasse), Jean-Claude Jurvillier (souba), Dominique Rodary et quelques figurants (basses), René Renaud (contrebasse).
En dessous : Danielle Jurvillier (encore chef mais plus pour longtemps), trois cornets non identifiés, Christian Hocquet (baryton), Jacques Thébault et Jocelyne Bouveret (clarinette), Jean-Claude et Marie-Hélène Méteyer (percussions)
Devant : Joël Eymard (trompette), Louis-André Lompré (hautbois), Alain Boutier, Alain Hautin et Jean-Claude Demeilliez (?)(trombones), Jean-Jacques Hiblot et un autre (flûtes), André Fischmann (saxo ténor) et trois renforts occasionnels à la percussion, dont le frère de Jocelyne au triangle.
Dans le landau poussé par Jacqueline Eymard, Philippe (un mois et demi), pas encore au bugle...

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